Le vent va finir par tourner, croit Boivin
(RDS.ca) : COVID-19, intoxication alimentaire, blessure à un doigt : Guillaume Boivin n’a pas eu droit à beaucoup de répit dernièrement. Le cycliste de l’équipe Israel – Premier Tech espère que les ennuis de santé sont désormais derrière lui, en préparation pour le Tour des Flandres et Paris-Roubaix. Le Québécois a été le 52e à franchir l’arrivée de la course À travers la Flandre mercredi, gagnée par Matteo Jorgenson (Visma | Lease A Bike), premier Américain de l’histoire à remporter cette épreuve World Tour. Un peu plus tôt, le coéquipier de Jorgenson et un des favoris pour l’emporter, le Belge Wout Van Aert, a été impliqué dans une chute massive à un peu moins de 70 kilomètres de l’arrivée. Il a été forcé à l’abandon, comme quatre autres coureurs. On a appris après la course que Van Aert s’était fracturé une clavicule et quelques côtes sur la séquence. Il devra oublier sa participation au Tour des Flandres et à Paris-Roubaix. Guillaume Boivin était aussi de ce groupe et a réussi à s’en sortir indemne. « Je suis tombé au même endroit au Tour des Flandres de l’an passé. Chaque fois qu’on passe là, ce sont des vitesses qui peuvent aller jusqu'à 80 km/h et c’est toujours extrêmement nerveux. Il y a souvent des chutes et quand ça arrive, ça amène de graves conséquences. C'est dangereux », a-t-il mentionné à Sportcom. Boivin admet avoir « manqué de jambes » par la suite. Une fois la course terminée, il a découvert avoir coursé malgré une crevaison lente, possiblement survenue à 100 kilomètres de la fin. « On savait que le final commençait dans la montée du Berg Ten Houte et ..
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