Jacqueline Imbert, 92 ans, une veuve du Cannet (Alpes-Maritimes), était devenue « sa marraine de cœur ». Mais c'est pourtant bien lui qui a été reconnu coupable de l'avoir empoisonnée en 2014, provoquant sa mort avec de l'atropine, un puissant toxique contenu dans certains collyres. .. L'article complet sur estrepublicain.fr